Rudi International organise une formation pour avocat(e)s à Goma du 31 mars au 1er avril, ainsi qu’une conférence le 2 avril. La formation porte, entre autres, sur les aspects du droit lié au numérique, la sécurité de données et la conférence comptera pour la 3e édition de HakiConf.
ASUTIC publie à l’occasion de l’an 2 de l’élection présidentielle non transparente du 24 Février 2019 au Sénégal, le rapport de son étude sur les données personnelles en contexte politique et électoral : Le cas de l’élection présidentielle du 24 Février 2019 au Sénégal.
Aucun motif pertinent ne peut être invoqué pour justifier ce nouveau dispositif, sinon des déclarations non fondées. Aussi, ce dispositif pourrait se traduire par un renforcement considérable des pouvoirs attentatoires à la liberté de la presse confiés à une autorité gouvernementale.
Ce projet contribuera à la création d’un écosystème propice à l’émergence et à la croissance de réseaux communautaires et d’autres initiatives de connectivité communautaires dans les pays en voie de développement. Cela fait partie d'une stratégie pluriannuelle et pluridisciplinaire envisagée pour résoudre les problèmes de capacité humaine et de durabilité, ainsi que les obstacles des politiques et réglementaires qui limitent la croissance des initiatives de connectivité à base communautaire.
Ce projet vise à protéger et à promouvoir le respect de la liberté de religion et d'expression sur internet, notamment en combattant le discours de haine en ligne fondé sur la religion et en générant des récits et des discours qui défendent des opinions laïques et diverses touchant à la religion. Le projet d'une durée de trois ans met l'accent sur cinq pays d'Asie du Sud et du Sud-Est: le Bangladesh, l'Inde, l'Indonésie, le Myanmar et le Pakistan.
Le Réseau de recherche sur l’internet féministe est un projet de recherche multidisciplinaire et collaboratif de trois ans et demi dirigé par l’Association pour le progrès des communications avec le financement du Centre de recherches pour le développement international (CRDI). Le projet s’appuie sur l’étude « Mapping research in gender and digital technology » (« Carte des recherches menées sur les technologies numériques et le genre ») et sur les Principes féministes de l’internet établis à travers la collaboration de féministes et d’activistes provenant essentiellement de l’hémisphère Sud.
L'École africaine sur la gouvernance de l'Internet (AfriSIG), est une initiative co-organisée par l'Association pour le Progrès des Communications (APC) et le Nouveau Partenariat pour le Développement de l'Afrique (NEPAD), est une initiative de formation multipartite qui vise à donner aux Africains de divers secteurs et groupes d'intervenants l'opportunité d'acquérir les connaissances et la confiance nécessaires pour participer efficacement aux processus de gouvernance et aux débats aux niveaux national, régional et mondial.
Avis Momeni de PROTEGE QV, une organisation membre d'APC au Cameroun, partage ses réflexions sur le Forum Ouvert de l'Union Africaine qui s'est tenu au Forum sur la Gouvernance de l'Internet à Berlin. Il a pu assiste au forum grâce au soutien du Fonds pour les échanges et la mobilité des membres.
Dans le cadre de la célébration de la 6è édition de l’IGF national du Togo, le 6 décembre 2018, le réseau APC a été représenté par M. Avis Momeni de l’organisation PROTEGE QV, sous l’invitation du président du comité d’organisation de l’évènement en la personne de M. Emmanuel Elolo Agbenonwossi.
La 6e École africaine sur la Gouvernance de l’Internet (AfriSIG) qui se tient à Zanzibar en Tanzanie du 11 au 16 octobre 2018, réunit trente-cinq apprenants et une vingtaine d’encadreurs, experts et personnes ressources. L’AfriSIG est un cours intensif annuel d’apprentissage et de partage des connaissances de cinq jours, organisé par l’Association pour le Progrès des Communications (APC) et la Commission de l’Union Africaine.
Le 17 juin 2011, l'Assemblée générale a adopté une résolution qui a décidé « de maintenir le statut d’organe subsidiaire de l’Assemblée générale conféré au Conseil des droits de l’homme et de réexaminer, à un moment opportun, la question de savoir s’il convient de conserver...
Un groupe géographiquement représentatif de 527 organisations de la société civile a appelé à la reprise de la procédure de suivi par l'État des organes conventionnels internationaux des droits de l'homme, qui a été reportée depuis mars en raison des restrictions du COVID-19.
En l’absence de transparence gouvernementale sur la gestion de l’état d’urgence, de l’absence de contrôle parlementaire par l’Assemblée Nationale et des limites du contrôle juridictionnel, ce régime d’exception, qui a été instauré pour lutter contre la COVID-19, a suscité lé...
Face aux mesures prises par le Cameroun pour limiter la propagation de la COVID-19, Internet est devenu le moyen principal pour garder le contact avec les proches, travailler, étudier, se détendre et surtout assurer une relative continuité des services.
Notre monde est en train de vivre une pandémie jamais vécue dont la transmission virale a surpris tout le monde. Dans cette situation, plusieurs gouvernants à travers le monde adoptent des mesures, des stratégies et des politiques de lutte contre la pandémie du coronavirus.
Pour lutter contre la COVID-19 de nombreux pays ont recours aux technologies numériques de surveillance des populations.
Le présent document se fonde sur le suivi réalisé par la Coalition de la Déclaration africaine des droits et libertés de l’internet (AfDec) qui porte sur les incidences de la pandémie de COVID-19.
Le présent document d’opinion présente les pensées actuelles d'APC au sujet de la pandémie. Il identifie un certain nombre de questions importantes étroitement liées qui exigent l’attention des gouvernements, du secteur privé et de la société civile.