En l’absence d’informations officielles publiées par les autorités, ASUTIC entend recenser les éventuelles violations des droits humains en ligne publiées par la presse mais surtout en faisant appel aux citoyens.
Le document d'opinion conforte l’évaluation et la prise de position des membres de la Coalition sur la promotion, la protection et l’exercice des droits humains en ligne dans le contexte de la COVID-19.
Vous trouverez ici des articles et des réflexions partagées au sein de notre communauté, qui lutte en faveur des droits humains liés à la technologie depuis plus de 30 ans. N’hésitez pas à nous contacter si vous avez d’autres ressources à partager.
Ce projet contribuera à la création d’un écosystème propice à l’émergence et à la croissance de réseaux communautaires et d’autres initiatives de connectivité communautaires dans les pays en voie de développement. Cela fait partie d'une stratégie pluriannuelle et pluridisciplinaire envisagée pour résoudre les problèmes de capacité humaine et de durabilité, ainsi que les obstacles des politiques et réglementaires qui limitent la croissance des initiatives de connectivité à base communautaire.
Ce projet vise à protéger et à promouvoir le respect de la liberté de religion et d'expression sur internet, notamment en combattant le discours de haine en ligne fondé sur la religion et en générant des récits et des discours qui défendent des opinions laïques et diverses touchant à la religion. Le projet d'une durée de trois ans met l'accent sur cinq pays d'Asie du Sud et du Sud-Est: le Bangladesh, l'Inde, l'Indonésie, le Myanmar et le Pakistan.
Le Réseau de recherche sur l’internet féministe est un projet de recherche multidisciplinaire et collaboratif de trois ans et demi dirigé par l’Association pour le progrès des communications avec le financement du Centre de recherches pour le développement international (CRDI). Le projet s’appuie sur l’étude « Mapping research in gender and digital technology » (« Carte des recherches menées sur les technologies numériques et le genre ») et sur les Principes féministes de l’internet établis à travers la collaboration de féministes et d’activistes provenant essentiellement de l’hémisphère Sud.
L'École africaine sur la gouvernance de l'Internet (AfriSIG), est une initiative co-organisée par l'Association pour le Progrès des Communications (APC) et le Nouveau Partenariat pour le Développement de l'Afrique (NEPAD), est une initiative de formation multipartite qui vise à donner aux Africains de divers secteurs et groupes d'intervenants l'opportunité d'acquérir les connaissances et la confiance nécessaires pour participer efficacement aux processus de gouvernance et aux débats aux niveaux national, régional et mondial.
Avis Momeni de PROTEGE QV, une organisation membre d'APC au Cameroun, partage ses réflexions sur le Forum Ouvert de l'Union Africaine qui s'est tenu au Forum sur la Gouvernance de l'Internet à Berlin. Il a pu assiste au forum grâce au soutien du Fonds pour les échanges et la mobilité des membres.
Dans le cadre de la célébration de la 6è édition de l’IGF national du Togo, le 6 décembre 2018, le réseau APC a été représenté par M. Avis Momeni de l’organisation PROTEGE QV, sous l’invitation du président du comité d’organisation de l’évènement en la personne de M. Emmanuel Elolo Agbenonwossi.
La 6e École africaine sur la Gouvernance de l’Internet (AfriSIG) qui se tient à Zanzibar en Tanzanie du 11 au 16 octobre 2018, réunit trente-cinq apprenants et une vingtaine d’encadreurs, experts et personnes ressources. L’AfriSIG est un cours intensif annuel d’apprentissage et de partage des connaissances de cinq jours, organisé par l’Association pour le Progrès des Communications (APC) et la Commission de l’Union Africaine.
Le présent document d’opinion présente les pensées actuelles d'APC au sujet de la pandémie. Il identifie un certain nombre de questions importantes étroitement liées qui exigent l’attention des gouvernements, du secteur privé et de la société civile.
La pandémie de COVID-19 est une urgence de santé publique qui requiert une réponse des gouvernements du monde entier. Les initiatives des États visant à contenir le virus ne doivent pas servir de prétexte à entrer dans une nouvelle ère de systèmes généralisés de surveillance numériqu...
Nous avons reçu des informations que votre gouvernement prévoit de couper l’internet au cours des prochaines élections au Togo. Nous nous adressons à vous afin de vous demander urgemment d’assurer la stabilité et l’ouverture de l’internet et des plateformes de réseaux sociaux.
Nous demandons d’urgence à toutes les parties prenantes d’assurer la stabilité et l'accessibilité d’internet avant, pendant et après la prochaine élection présidentielle du 24 février 2019 au Sénégal.
PROTEGE QV souhaite analyser la situation nationale au regard des principes clés de la Déclaration Africaine des Droits et des Libertés de l’Internet adoptée par la Commission Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples à Banjul.
Une coalition de 35 organisations de la société civile a écrit à plusieurs organismes internationaux parmi lesquels l'Union Africaine et le Conseil des Droits de l'Homme des Nations Unies à propos de la récente interruption d'internet au Togo. La Coalition appelle les organismes intern...
Fin mai, le Guardian a publié les Archives de Facebook, des documents internes ayant fait l’objet de fuites qui révélaient de quelle manière l’entreprise modère les contenus. Nous sommes nombreux à réclamer depuis longtemps une plus grande transparence dans la modération des contenus ...
L’Association pour le Progrès des Communications (APC) remarque, avec une grave préoccupation les restrictions sur l’accès à Internet (communément appelé Coupure de l’internet) commandées par le gouvernement du Cameroun. Les restrictions, qui sont en vigueur depuis le 17 janvier 2017...